3/3/2018 - "J'ai cru à une blague" a dit ce jeune français possédant la double nationalité franco-camerounaise, mais qui n'avait pas ses papiers sur lui. Interpellé puis enfermé en centre de rétention administrative parce que la police n'a pas estimé ni important ni utile de vérifier ce qui pourtant il aurait pu leur prouver en moins d'une minute.
La privation de liberté est devenue tellement banale que l'imposer à quelqu'un est plus simple que de vérifier la réalité de sa situation.
On peut et on doit se demander si ça se serait passé de la même façon si sa peau avait été blanche...
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