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La secrétaire générale de La Cimade dénonce : les enfermements arbitraires, les violences et les mises à l’isolement répétées, un climat de stigmatisation grandissante, les expulsions illégales

Solidarite avec Mimmo Lucano

Source : euronews - euronews avec AP - 01/03/2021

Chaque nuit, quelque soit la météo, des migrants tentent de passer la frontière entre l'Italie et la France à travers les Alpes. Venus d'Afrique ou du Moyen-Orient, ils sont prêts à prendre tous les risques pour mener à bien leur projet d'une vie meilleure en Europe. Face à eux, se dressent les rigueurs de l'hiver mais aussi les contrôles toujours plus fréquents des forces de l'ordre.

Amir, 23 ans, a fui l'Afghanistan depuis déjà de longs mois. Il égrène les pays qu'il a traversés dans l'espoir d'arriver en France : "l'Iran, la Turquie, la Grèce, l'Albanie, le Monténégro, la Bosnie, la Croatie, la Slovénie et puis l'Italie".

 

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La Croix-Rouge italienne patrouille depuis plusieurs années près du village frontalier de Claviere. L'organisation qui vient en aide aux migrants en détresse note un récent changement dans le profil de ceux qui tentent la traversée.

"Il y a beaucoup de familles, souvent avec des enfants "

"Depuis quelques mois, le type de migrants qui passent dans cette zone a un peu changé ; il y a beaucoup de familles, souvent avec des enfants qui ont pris la route des Balkans, donc les principales nationalités sont afghanes, iraniennes, irakiennes. Il arrive souvent des accidents, des avalanches. Un autre grand danger, c'est le froid. Si l'on n'est pas bien équipé, avec des gants, des vêtements chauds, passer une nuit par moins 15 ou moins 20 degrés peut être mortel", raconte Michele Belmondo, bénévole à la Croix-Rouge italienne.

Mais la première peur des migrants reste celle de se faire arrêter par la gendarmerie française ou la police aux frontières dont les effectifs ont été renforcés. En cas d'interception, ils seront le plus souvent renvoyés en Italie.

 

 


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